Je me suis attelée hier après-midi, en étudiante prévoyante que je suis (aheum... aheum...), à l'écriture du 500 mots demandé pour un de mes cours. Je me suis plongée dans la paperasserie, les photocopies et les transcripts d'internet tentant, tant bien que mal, de discerner le vrai du faux et l'important de l'inutile.

J'ai passé tout l'après-midi à bucher sur le 500 mots en question, tentant d'introduire les divers éléments. J'ai fini par écrire mon 500ème mot et à ce moment, en proie à une écoeurantite aigue et sentant la migraine se pointer, j'ai décidé de tout "sacrer là" comme on dit...

L'ironie reste que le soir même, en recopiant la version finale à l'ordinateur je n'ai gardé que deux paragraphes de ce que j'avais écrit dans l'après-midi en improvisant tout le reste avec une facilité qui contrastait avec le buchâge de l'après-midi précédent. Ok d'accords, j'ai compris la prochaine fois je ne me prends pas d'avance et je fais tout à la dernière minute puisqu'on dirait bien que la prévoyance n'est pas un stimulant très efficace pour écrire un lead!

"La mort est dans le détail"